Informations syndicales

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Alerte sociale : assez de mépris, satisfaction des revendications !

Mépris du ministre, manque de moyens, absence de réelle protection des personnels face à l'épidémie de COVID-19, refus du ministère de discuter d'une véritable revalorisation générale des traitements indiciaires, sans contrepartie (voir l'article sur le Grenelle de l'éducation)… au mépris du ministre, à la dégradation continue des conditions de travail, opposons les revendications, l'action commune pour les faire aboutir !

Le SNUDI FO 35  appelle les personnels à se saisir des appels intersyndicaux, à se réunir dès le lundi 2 novembre, pour faire valoir toutes leurs revendications, à participer aux réunions d'informations syndicales qu'il organise (prochaine réunion en visio, le 25 novembre 2020).

Dans les écoles, de nombreux collègues ont d'ores et déjà envoyé des déclarations préalables de grève et sont prêts à se mobiliser. La FNEC -FP FO a déposé un préavis national de grève jusqu'aux vacances, dans un premier temps, préavis couvrant l'ensemble des personnels de l'Education Nationale (y compris les AESH). Un préavis national couvre les personnels territoriaux, appelés à la mobilisation jeudi 5 novembre.

Dans le département, une intersyndicale de l'ensemble des organisations de l'Education Nationale va se réunir prochainement, à l'invitation du SNUDI FO 35 et du SNFOLC 35. L'heure est à la mobilisation pour la satisfaction des revendications !

Lire le communiqué de la FNEC FP FO
Lire l'adresse intersyndicale aux parlementaires
Lire le communiqué intersyndical "alerte sociale"
Lire le communiqué unitaire Education Nationale

Conditions de reprise: Faites-nous remonter la situation dans votre école

Pour pouvoir alerter et obtenir des réponses de l’administration, nous avons besoin de connaître précisément la situation dans les écoles : informez-nous de tous les incidents ou risques liés aux conditions de travail et remplissez le registre SST dématérialisé (dans Toutatice > ARENA – Portail des applications métiers > Intranet, référentiels et outils > Autres outils > Registre Santé et Sécurité au travail).

Les fiches SST permettent de signaler la situation dangereuse au supérieur hiérarchique qui a obligation d’apporter une réponse. La responsabilité est alors transférée à l’IEN en cas d’incident futur.

Envoyez-nous une copie de votre fiche afin que nous puissions assurer un suivi et interpeller directement l’administration si une réponse n’était pas apportée.

Lien vers le registre santé et sécurité au travail dématérialisé dans l'application ARENA: https://portail.ac-rennes.fr/arena/pages/accueill.jsf
Choisir la rubrique "Intranet, référentiels et outils dans le bandeau de gauche, puis "Registre santé et sécurité au travail (RSST)" dans la partie droite. Cliquer ensuite sur "ajouter un nouveau signalement".

Autorisations spéciales d'absence pour les personnels vulnérables

Le 15 octobre, le Conseil d'Etat a suspendu le décret du 29 août restreignant la liste des pathologies ouvrant droit au statut de personne vulnérable. C'est donc à nouveau le décret du 5 mai 2020 qui s'applique pour déterminer les critères de vulnérabilité.

Tous les personnels répondant aux critères suivants doivent bénéficier d'une autorisation spéciale d'absence, sur présentation d'un certificat d'isolement récent établi par le médecin. (Il ne doit pas faire état du détail des pathologies pour respecter le secret médical mais mentionner que vous devez bénéficier d'une mesure d'isolement).

1° - Etre âgé de 65 ans et plus ;
2° - Avoir des antécédents (ATCD) cardiovasculaires : hypertension artérielle compliquée (avec complications cardiaques, rénales et vasculo-cérébrales), ATCD d'accident vasculaire cérébral ou de coronaropathie, de chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV ;
3° - Avoir un diabète non équilibré ou présentant des complications ;
4° - Présenter une pathologie chronique respiratoire susceptible de décompenser lors d'une infection virale : (broncho pneumopathie obstructive, asthme sévère, fibrose pulmonaire, syndrome d'apnées du sommeil, mucoviscidose notamment) ;
5° - Présenter une insuffisance rénale chronique dialysée ;
6° - Etre atteint de cancer évolutif sous traitement (hors hormonothérapie) ;
7° - Présenter une obésité (indice de masse corporelle (IMC) > 30 kgm2) ;
8° - Etre atteint d'une immunodépression congénitale ou acquise :
- médicamenteuse : chimiothérapie anti cancéreuse, traitement immunosuppresseur, biothérapie et/ou corticothérapie à dose immunosuppressive ;
- infection à VIH non contrôlée ou avec des CD4 < 200/mm3 ;
- consécutive à une greffe d'organe solide ou de cellules souches hématopoïétiques ;
- liée à une hémopathie maligne en cours de traitement ;
9° - Etre atteint de cirrhose au stade B du score de Child Pugh au moins ;
10° - Présenter un syndrome drépanocytaire majeur ou ayant un antécédent de splénectomie ;
11° - Etre au troisième trimestre de la grossesse.

Le lien vers le décret : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000041849680/

Modèle de courrier à envoyer à l'IEN :

Madame l'inspectrice / Monsieur l'inspecteur
Le 15 octobre dernier, le Conseil d'Etat a suspendu le décret 2020-1098 du 29 août 2020 réduisant les critères de vulnérabilité des personnels à risques, et ainsi décidé du retour en vigueur du décret du 5 mai.
Par conséquent, je vous demande de bien vouloir me placer en ASA afin d'assurer ma protection.
Je vous joins à nouveau un certificat médical qui motive cette demande.
Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d'agréer, Madame l'Inspectrice / Monsieur l'inspecteur…

Le SNUDI-FO s'est adressé au DASEN pendant les vacances pour s'assurer que toutes les demandes d'ASA de personnels vulnérables soient accordées. L'administration aurait d'ailleurs dû s'assurer par elle-même que tous les personnels concernés bénéficient de ces autorisations et ne reprennent pas leur poste le 2 novembre.

Cas des personnels vivant avec un proche vulnérable :

Nous continuons de demander à ce que les ASA soient élargies aux personnes qui vivent avec un proche vulnérable et nous nous sommes adressés au DASEN en ce sens dès la semaine dernière. Nous appelons donc les collègues concernés à solliciter une ASA auprès de leur IEN et à nous contacter.

A défaut, il est possible de demander la fourniture de masques chirurgicaux ou un aménagement du poste de travail.

Extrait des informations mises à jour suite aux annonces gouvernementales de la semaine dernière (https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14380)

Dans la fonction publique d'État

Si vous vivez avec une personne considérée comme vulnérable, et si le télétravail est impossible, votre employeur doit vous assurer une protection complémentaire, notamment :
     •    mise à disposition d'un masque chirurgical à porter sur les lieux de travail et dans les transports en commun, lors des trajets domicile-travail et en déplacements professionnels ;
     •    aménagement du poste de travail : bureau dédié ou limitation du risque (exemple : écran de protection de façon complémentaire au port du masque).

(A noter, les personnels enseignants sont considérés comme non éligibles au télétravail si les élèves continuent d'être accueillis.)

Hommage à Samuel Paty : le mépris

Quatre jours avant la rentrée, le ministre Blanquer décide unilatéralement, et sans se soucier le moins du monde des difficultés organisationnelles que cela suppose, de programmer 2 heures de concertation au retour des vacances, faisant ainsi montre du plus parfait mépris envers les directeurs mis en position de devoir gérer au débotté les problèmes posés par la non prise en charge des élèves avant 10 heures, un jour de reprise et dans le cadre d'un énième protocole sanitaire.

Puis, deux jours plus tard, alors que les équipes essayaient de trouver des solutions permettant de répondre aux exigences du ministre, après avoir fait travailler notamment les directrices et les directeurs pendant les vacances, les obligeant à contacter toutes les familles pour les informer de l'organisation particulière de cette rentrée, après avoir mis tout le monde sous pression, il décide de tout changer, le vendredi soir à 17h19, de déprogrammer le temps de concertation initialement prévu, faisant une fois encore preuve du plus total mépris envers les personnels de l'Education Nationale.

"C’est pourquoi, le lundi 2 novembre, (…) tous les élèves reprendront les cours comme à l’habitude. Une minute de silence sera observée lundi à 11h, après la lecture de la lettre de Jean Jaurès aux instituteurs, (…)

Ce temps pourra être précédé, d’un temps pédagogique, en classe, adapté bien sûr à l’âge des élèves, autour des valeurs de la République et de son École. (…). Ce temps pédagogique pourra, le cas échéant à l’appréciation du professeur, se tenir tout au long du mois de novembre afin de laisser aux professeurs qui le souhaitent le temps nécessaire pour préparer cette séquence. Aucune classe ni aucun établissement ne peut s’exonérer de cette heure de travail et d’échange dont chaque élève de France doit bénéficier".

Si le ministre Blanquer semble prendre en compte certaines des demandes des syndicats, en donnant l'impression de laisser à l'appréciation des enseignants la mise en œuvre d'un temps pédagogique autour des valeurs de la République, il ne peut en réalité se départir de l'autoritarisme qui le caractérise en imposant l'heure et la lecture d'un document (dans une version d'ailleurs "aménagée") qui n'était pas nécessairement adapté à tous les publics d'élèves. Il persiste ainsi dans l'erreur qui consiste à faire croire que la défense des valeurs de la République ne peut passer que par des temps solennels, institutionnels, imposés, alors qu'elle est au cœur de l'action quotidienne des personnels de l’Éducation Nationale. Pour ces derniers, révoltés, indignés par l'assassinat de Samuel Paty, lui rendre hommage n'était pas une opération de communication. Il s'agissait de pouvoir exprimer leur infinie tristesse, leur profond attachement à leur métier, à l'Ecole et à ses valeurs. C'est ce que le ministre a piétiné.

Défendre les valeurs de la République, c'est défendre les services publics et leurs agents, leur manifester en toutes circonstances soutien, reconnaissance et considération, leur donner les moyens d'accomplir leurs missions, au service des citoyens, c'est répondre à leurs revendications. Tout le contraire de l'action constante du ministre depuis sa nomination.

Nouveau protocole sanitaire: grand retour de la garderie nationale

En annonçant la semaine dernière le reconfinement du pays tout en maintenant les écoles ouvertes, la mise en place d'un protocole sanitaire renforcé tout en accueillant l'ensemble des élèves,  l'éducation nationale apparaissait plus que jamais réduite à l'état de garderie permettant de garantir le maintien de l'activité économique.

Encore une fois, le protocole sanitaire permet au ministre de donner l'illusion d'assurer la sécurité alors qu'il ne garantit en rien la santé des personnels. Encore une fois, il a été communiqué en toute hâte à quelques jours de la rentrée sans que le CHSCT ministériel ne soit consulté. Encore une fois, c'est aux personnels et aux collectivités que revient la charge de le mettre en œuvre dans la précipitation, sans aucun temps dédié. Dans ce nouveau protocole,  la limitation du brassage sera restreinte par les contraintes matérielles sur les temps scolaires et périscolaires, puisqu'il faut continuer à accueillir tous les élèves. Le renforcement du nettoyage dépendra des moyens mis à disposition par les collectivités, tout en sachant qu'ils faisaient déjà parfois cruellement défaut. La nouveauté réside principalement dans l'obligation du port du masque pour les élèves à partir du CP, alors que le ministre continue d'affirmer que les enfants ne sont ni contaminés ni contaminants. Mais nous ne sommes certainement plus à une contradiction près. De la même façon, avant les congés, le DASEN assurait qu'aucune contamination n'avait lieu dans le cadre scolaire. Pourtant, si l'on en croit les données de l'ARS de Bretagne, à cette période, près de la moitié des clusters identifiés dans le département l'étaient dans le milieu scolaire et universitaire (14 clusters sur les 32 identifiés au 14/10). Ce nouveau protocole promet donc de contribuer à rendre les conditions de travail encore plus intenables, tout en ne contenant aucune réelle mesure de protection pour les personnels, que nous revendiquons depuis le début de la crise sanitaire :

- Le dédoublement des classes
- des tests systématiques de dépistage pour les personnels et élèves
- une identification et une prise en charge précise et immédiate des cas contacts, avec éviction scolaire effective
- la fermeture des classes et des écoles en cas de circulation active du virus,
- la mise à disposition gratuite du matériel de protection pour tous les personnels et les élèves,
- le placement en ASA (autorisation spécifique d’absence) en cas d’isolement,
- l’abrogation du jour de carence et le remboursement des jours de carence pour tous les personnels placés en congé maladie ordinaire depuis la rentrée scolaire
- le suivi médical des personnels par la médecine de prévention, le recrutement immédiat de médecins du travail en nombre suffisant

Le SNUDI-FO s'est adressé au DASEN pour obtenir des précisions sur les nouvelles consignes sanitaires :

Conseils d'école : le DASEN n'a pas donné d'autres consignes que l'exigence de la tenue des conseils d'école. Concernant la sécurité sanitaire, c'est la règle commune qui s'applique : mesures barrière, distanciation (1m de distance). "On ne réunira pas 25 personnes dans une salle de 15m²", ce n'est pas possible". De préférence, tenir les réunions en distanciel, dans la mesure du possible.

L'équation peut être sans solution, mais les pressions des IEN sont inacceptables. Le DASEN s'engage à faire passer le message. Le SNUDI FO interviendra partout où il y aura des pressions.

Piscine : ce sont des cours obligatoires, autorisés par les textes relatifs à la crise sanitaire, malgré l'impossibilité de faire respecter les mesures de distanciation et les mesures barrière, de par la nature même de l'activité. Le DASEN ne donnera pas de consigne pour l'annulation des cours d'EPS en général, de natation en particulier. En revanche, il indique qu'il ne fera pas pression si une école prend la décision, en concertation avec la piscine, d'annuler les séances programmées pendant la période de confinement.

Le SNUDI FO interviendra auprès des IEN en cas de pression pour imposer les séances de natation.

Personnels vulnérables : la consigne vient d'être donnée (le jour de la rentrée) aux IEN d'accepter sans attendre les ASA des personnels vulnérables qui en font la demande, certificat médical à l'appui. Cette décision est intervenue très tardivement, et l'employeur renvoie aux personnels ce qui relève de sa responsabilité : le suivi des personnels vulnérables par la médecine de prévention et le placement immédiat et automatique en ASA.

Constellations: continuer d'agir pour obtenir l'abandon du dispositif

Alors que le cadre réglementaire impose le volume horaire de formation obligatoire mais en aucun cas le contenu, les formations en constellation continuent d'être imposées aux collègues. Le ministère a confirmé que leur finalité était bien de permettre l’évaluation continue de tous les collègues tout au long de la carrière, malgré le discours officiel de l'administration qui tente de les faire passer comme des formations novatrices, "horizontales" permettant la "construction par l'acteur".

Nous appelons tous les collègues à agir dès maintenant pour s'opposer à la mise en place de ces modalités de formation imposées et obtenir leur abandon :

- En se réunissant, en adoptant une motion d'école en conseil des maîtres (modèle de motion) à adresser à l'IEN et au syndicat.

- En faisant savoir à leur IEN qu'ils ne se portent pas volontaires s'ils étaient désignés d'office avec copie au syndicat (modèle de courrier).

- En s'inscrivant aux animations pédagogiques de leur choix.

- En participant aux réunions d'information syndicale qui auront lieu les mercredis 4 et 25 novembre 2020, en visio-conférence. Nous rappelons qu'il est possible de participer à 9h de d'information syndicale par an, qui peuvent être déduites des 108h annualisées, y compris des 18h de formation. Nous invitons donc tous les collègues à participer massivement aux réunions d'information organisées par le syndicat ou à nous contacter afin qu'une réunion soit organisée dans l'école.

- En remplissant une fiche SST, le cas échéant, s'ils estiment que ces nouvelles modalités ont un retentissement sur leurs conditions de travail et leur santé (anxiété liée à ces visites par exemple) avec copie au syndicat.

Nous rappelons également que la présence d'un tiers ne peut jamais être imposée dans la classe.

Dans tous les cas, contactez le syndicat pour nous faire connaître votre refus des formations en constellation et construire l'action collective.

Télécharger le modèle de courrier à l'IEN
Télécharger le modèle de motion d'école
*  Lien vers le registre santé et sécurité au travail dématérialisé dans l'application ARENA : https://portail.ac-rennes.fr/arena/pages/accueill.jsf
Choisir la rubrique "Intranet, référentiels et outils dans le bandeau de gauche, puis "Registre santé et sécurité au travail (RSST)" dans la partie droite. Cliquer ensuite sur "ajouter un nouveau signalement".
Lire le communiqué du SNUDI-FO suite à l'audience au ministère

Grenelle de l'Education : pseudo-revalorisation contre remises en cause statutaires bien réelles

Force Ouvrière a toujours exigé que les négociations sur la revalorisation indiciaire soient conduites, annuellement, sans contreparties statutaires. Rappelons que depuis 2000, on estime à 20 % les pertes de pouvoir d'achat des agents de la Fonction publique, que la valeur du point d'indice est gelée presque continuellement depuis 2010.

Or, avec le Grenelle de l'Education, comme ça avait été la cas avec PPCR, les ministres tentent d'imposer des remises en cause statutaires bien réelles en échange de maigres contreparties financières.

En l'occurrence, il s'agit pour le ministre Blanquer d'aller plus loin dans l'application de PPCR. Les documents préparatoires aux groupes de travail l'affichent clairement: "l'un des objectifs du Grenelle de l’Éducation est de transformer en profondeur la gestion des ressources humaines du ministère."

Il s'agit notamment de renforcer le volet évaluation-accompagnement de PPCR, accompagnement pouvant déboucher sur une réoriention, voire le licenciement pour insuffisance professionnelle. Compte tenu des conditions de travail actuelles, il n'est pas difficile d'imaginer que nul n'est à l'abri.

En échange, le ministère fait l'aumône à certains personnels de l'Education Nationale de primes dégressives qui sont loin de répondre aux revendications. Avec son Grenelle de l'Education, le ministre Blanquer tourne le dos à l'exigence d'une revalorisation générale des traitements indiciaires. Rien n'y fera, pas même une énième vidéo : il affiche une nouvelle fois son mépris pour les personnels dont il a la responsabilité, son mépris pour l’École de la République.

Le SNUDI-FO revendique :

•    L’ouverture immédiate de négociations pour une augmentation de 20% de la valeur du point d’indice afin de rattraper les pertes du pouvoir d’achat depuis 2000 ;
•    L’intégration de 49 points d’indice net supplémentaire dans la grille de tous les personnels titulaires, soit 183€, comme ce qui a été obtenu par les personnels hospitaliers, et 183 euros nets supplémentaires pour les contractuels, sans contrepartie ;
•    L’abandon des remises en cause de notre statut, des formations en « constellations », des mesures d’accompagnement PPCR ;
•    L’abrogation du décret PPCR et le rétablissement d’un déroulement de carrière basé sur l’ancienneté générale de service.

Lire le communiqué du SNUDI FO national du 22 octobre 2020
Lire les 4 scénarios ministériels concernant la "prime d’attractivité"