Depuis les réformes Balladur de 1993 et Fillon de 2003, de plus en plus de salariés sont contraints de travailler plus longtemps pour bénéficier d’une retraite à taux plein.
Tous les quatre jours, c’est un jour de cotisation supplémentaire qui s’ajoute au compteur d’annuités et à la fin 2010, nous en serons à 40 annuités et deux trimestres pour espérer une retraite à taux plein.