Informations syndicales

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Grève interprofessionnelle reconductible à partir du 5 décembre contre le projet de retraites Macron-Delevoye

Jeudi 5 décembre
Départ de la manifestation à Rennes : 10h30,
place du général de Gaulle

Assemblée générale : 14h30,  
amphithéâtre du lycée Coëtlogon à Rennes

 lundi 2 décembre
Réunion publique sur les retraites
18h30, salle des Halles de Janzé

La  FNEC-FP FO a déposé un préavis de grève du 5 décembre jusqu’au 21 décembre.

La grève s’annonce d’ores et déjà très suivie le 5 décembre, avec de très nombreuses écoles fermées ;  la question qui se pose, c’est que faisons-nous le soir du 5 décembre ? Si le gouvernement n’a pas retiré son projet, renoncerons-nous, attendrons-nous pour préparer une autre journée d’action qui ne fera que préparer la suivante, et ainsi jusqu’aux vacances d’été.

Pour FO, c’est la reconduction de la grève qui est à l’ordre du jour, pour faire céder le gouvernement. Envoyons dès maintenant les déclarations préalables, du 5 au 20 décembre, tenons-nous prêts !

Déclarations préalables
Pour pouvoir être en grève à compter du 5 décembre, pensez à envoyer dès à présent vos déclarations préalables de grève pour toute la période du 5 au 20 décembre.

Les seules mentions obligatoires de la déclaration, stipulées par la loi n°2008-790 du 20 août 2008, sont le nom et le prénom de l’agent ainsi que  la date et l'heure à laquelle l'intéressé entend se mettre en grève.

Vous pouvez donc n’envoyer qu’une seule déclaration préalable, par exemple celle fournie par l’IA 35, en complétant le champ « date » comme suit : 5 décembre 8h au 20 décembre 19h.

Comptons-nous
Le SNUDI-FO 35 met à disposition un lien vers un document FRAMACAL permettant de recenser les écoles en grève  :

https://lite.framacalc.org/hbuiz4baokgrevedecembre2019

Ce document framacalc couvre pour l’instant les 2 premières semaines (du 5 au 13 décembre) :
    • il vous suffit d’entrer les données de votre école (nombre de classes) puis de renseigner la situation dans votre école pour chaque journée (école fermée ou nombre de grévistes)
    • tout est sauvegardé automatiquement (pas besoin de chercher le bouton enregistrer, il n'y en a pas)
    • les calculs se font au fur et à mesure que les collègues remplissent le document
    • si votre école n’apparait pas dans la liste des 434 écoles répertoriées dans le document, vous pouvez la rajouter après la ligne 446
    • le fichier étant volumineux, il vous faudra patienter quelques secondes avant son affichage

Lire le bulletin « spécial retraites » du SNUDI-FO 35
Lire le courrier d’Yves Verrier, secrétaire général de FO
Lire l’appel intersyndical Education nationale 35 FO-CGT-Sud-FSU
Télécharger le modèle de déclaration préalable à la grève

Direction d’école, conditions de travail

Le suicide de notre collègue Christine Renon avait suscité dans toute la profession une immense émotion, tant elle mettait en lumière de manière extrêmement brutale, mais lucide, la dégradation des conditions de travail des enseignants du premier degré en général, des directrices et directeurs en particulier, l’abandon par la hiérarchie, des personnels et des usagers.

Après avoir longtemps tergiversé, après avoir ignominieusement et grossièrement tenté d’exploiter le drame pour imposer un statut de directeur supérieur hiérarchique, le ministère a fait des annonces sur la direction d’école.

Le SNUDI FO 35 sera reçu par le DASEN le 12 décembre prochain. Il rappellera que la dégradation des conditions de travail est générale, que la question de la direction d’école concerne tous les enseignants, que le questionnaire adressé aux directeurs est une opération d’enfumage, visant à étouffer la colère qui s’est exprimée suite au suicide de Christine Renon, mais aussi et surtout une opération destinée déboucher sur la promotion du statut de directeur et des EPEP (ou autres types de regroupement d’écoles).

Le SNUDI FO 35 portera les revendications suivantes :

-  L’amélioration des quotités de décharge
-  Une réelle revalorisation indiciaire : 100 points d’indice pour tous les directeurs
-  La mise en place d’une aide administrative statutaire
-  L’allègement des tâches de direction : suppression de toutes les tâches inutiles ou relevant des responsabilités des IEN ou des municipalités

Concernant les revendications générales sur les conditions de travail, lire :

La déclaration préalable au CHSCT du 5 novembre
Le compte rendu du CHSCT du 5 novembre

Retraites : tous en grève à partir du 5 décembre

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AG jeudi 5 décembre 14h30,
amphithéâtre du lycée Coëtlogon

Le projet de réforme des retraites du gouvernement constitue une offensive sans précédent contre la totalité du modèle social qui s'est construit, notamment après la guerre, sur la base du programme du Conseil National de la Résistance.

Face à cette attaque, le SNUDI FO 35 s’engage résolument dans la grève à partir du 5 décembre, jusqu’au retrait du projet Macron-Delevoye de réforme des retraites.

Et à ceux qui ne veulent faire du 5 décembre qu’une « grande journée de mobilisation », nous demandons : Aurons-nous gagné le soir du 5 décembre ? Si le gouvernement n’a pas retiré son projet, baisserons-nous les bras, renverrons-nous la lutte à la prochaine «grande journée de mobilisation» ?

Préparons la reconduction, c’est la seule solution !

Le projet de réforme des retraites, c'est :

        la baisse généralisée des pensions, dans le public comme dans le privé. Cette baisse sera considérable pour les enseignants ;

        la suppression du code des pensions civiles et militaires, constitutif du statut général de la fonction publique ;

       la suppression de la solidarité intergénérationnelle qui fonde les régimes par répartition, en particulier le régime général dont dépendent plus de 80% des salariés du privé ;

        l'incertitude quant au montant des pensions, puisque c'est le gouvernement qui fixera chaque année la valeur du point ;

        l'accroissement des inégalités, le calcul de la pension sur l'ensemble de la carrière pénalisant les carrières hachées par les périodes de chômage, de maternité, de temps partiel... Les femmes seront particulièrement impactées ;

        la certitude de devoir travailler plus longtemps, quel que soit le scénario retenu (recul de l'âge légal, création d'un âge pivot ou allongement de la durée de cotisation).

FO dit non à cette régression sociale qui nous ramène des décennies en arrière. Pouvons-nous être la génération qui léguera aux suivantes moins de droits qu’elle n’en a reçus? Le droit à la retraite, aux congés payés, le statut général de la Fonction publique, le code du travail, les conventions collectives, la sécurité sociale ont été conquis, parfois au prix du sang et des larmes. Macron et le monde de la finance qu’il représente veulent tout reprendre, nous imposer un monde d’individualisation, du tous contre tous, le monde des gagne-deniers, sans droits, vivant au jour le jour du 19ème siècle.

Nous n’avons pas le droit de les laisser faire, nous avons le devoir de les bloquer. Le combat est inévitable et ne pourra se limiter à des journées d’action isolées, sans efficacité. Il n’y aura pas non plus de lutte par procuration. Si les fédérations du transport seront en grève à compter du 5 décembre, les enseignants ne pourront rester passifs.

L’avenir de la jeunesse est entre nos mains,
nous ne saurions l’abandonner.

La grève reconductible est inévitable, incontournable.

Pour vous permettre de vous mobiliser, pensez à envoyer dès à présent des déclarations préalables de grève pour tous les jours du 5 au 20 décembre (un formulaire pour chaque journée).

Télécharger le modèle de déclaration préalable à la grève

Informations syndicales

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Réunions d’information syndicale

Conditions de travail (RIS intersyndicale SNUDI-FO, CGT, SUD)
mercredi 6 novembre (9h à 12h)
à la Maison des associations (Rennes)

Rythmes scolaires
mercredi 13 novembre (9h30-12h30)
à l'Union départementale FO (35 rue d'Echange, Rennes)

AESH
mardi 7 janvier (17h)
à l'Union départementale FO (35 rue d'Echange, Rennes)

Retraites, inclusion, mise en œuvre de la loi Blanquer (PIALs, ...)
et de la loi de transformation de la fonction publique
( disparition des CAP, ...)

mardi 19 novembre (16h30)
à l’école primaire Le chat perché à Noyal-Châtillon-sur-Seiche

Chaque collègue peut participer à 9 heures d'information syndicale par année scolaire. Ces heures peuvent être déduites des heures annualisées (m@gistère, animations pédagogiques y compris celles décrétées "obligatoires" par l'IEN, concertation…) ou des heures de classe (3 heures maximum).

Participer à une RIS est un droit, cela ne nécessite donc pas une demande d’autorisation d’absence mais une simple information à l’IEN qui peut se faire jusqu'à 48 heures avant la tenue de la RIS.

Télécharger le modèle de courrier à envoyer à l’IEN avant la RIS
Télécharger le document "réunion d'information spéciale AESH"

Réforme des retraites : grève interprofessionnelle à partir du 5 décembre

Macron vient de déclarer qu’il irait jusqu’au bout sur sa réforme des retraites. Mais le gouvernement réfléchirait quand même à un plan B qui en repousserait la date d’application. Le gouvernement a peur de la grève qui se prépare dans tous les secteurs.

La mobilisation contre le projet Macron-Delevoye est un tournant historique que les travailleurs, tant du public que du privé, ne peuvent pas se permettre de rater : si nous ne bloquons pas le gouvernement sur cette question c’est  notre avenir et celui de nos enfants qui seront hypothéqués.

Le SNUDI-FO appelle tous les personnels à poursuivre dans les écoles, dans les établissements, et dans les services, les assemblées générales pour décider et préparer la grève, dans l’unité partout où cela est possible.

Tous en grève reconductible à partir du 5 décembre

- Retrait du projet Macron‐Delevoye de régime universel par points
- Maintien des 42 régimes dont le Code des pensions civiles et militaires
- Abandon de la loi de transformation de la Fonction publique et des contre‐réformes

Lire le tract FO
Lire le document "Réforme des retraites : FO vous répond"

Conditions de travail et direction d’école : ça suffit !

Suite au suicide de Christine Renon, le SNUDI-FO a été reçu au ministère le 22 octobre sur la question de la direction d’école.

Le SNUDI-FO a tout d'abord fait part de son indignation sur l'utilisation par le ministre du suicide de notre collègue pour promouvoir le statut de directeur supérieur hiérarchique et les établissements publics d'enseignement primaire (EPEP).

Face à la dégradation sans précédent des conditions de travail des directeurs,  qu'a annoncé le ministère lors de cette réunion  ? Un questionnaire (que tous les directeurs seraient invités à remplir après les vacances de Toussaint) et un "grand débat" (les directeurs seraient conviés à des réunions, en petits groupes, avec leurs IEN) !

De qui se moque le ministre ? Les revendications concernant la direction d’école sont connues et doivent être satisfaites immédiatement :

- amélioration significative des quotités de décharge
- réelle revalorisation indiciaire : 100 points d'indice pour tous les directeurs
- mise en place d'une aide administrative statutaire
- respect du décret de 1989 sur les missions des directeurs

Le SNUDI-FO a également indiqué que les directeurs, comme les adjoints, attendaient un soutien indéfectible de leur hiérarchie (IEN, IA-DASEN) face aux problèmes qu'ils pouvaient rencontrer, face aux agressions ou aux diffamations dont ils peuvent être victimes. « Pas de vague »... ça suffit !

Il est clair que le ministre n'a pas pris la mesure de la dégradation des conditions de travail des enseignants et joue la montre attendant que retombe la colère qui s'est exprimée suite au suicide de Christine Renon.

A nous de lui démontrer qu’il fait fausse route.

Mercredi 6 novembre
Réunion d’Information Syndicale de 9h à 12h
à la Maison des associations (Rennes) pour dire et écrire ce qui est une source de souffrance au quotidien.

Rassemblement devant la DSDEN de Rennes à 12h30.

Lire le communiqué du SNUDI-FO sur la direction d’école
Lire l’appel FO-CGT-SUD-CNT 35 au 6 novembre

Mise en œuvre de la Loi de transformation de la Fonction publique : la rupture conventionnelle pour licencier des fonctionnaires

Durant l’été a été adoptée la loi de transformation de la fonction publique, publiée au journal officiel le 7 août 2019.

Le  24 octobre dernier s’est tenu à la DGAFP (direction générale de l'administration et de la fonction publique) un groupe de travail  sur la mise en  œuvre  de la rupture conventionnelle dans le cadre de cette loi : le projet de décret prévoit que la rupture conventionnelle puisse être demandée soit par le fonctionnaire (ou agent contractuel) soit par un employeur public. Dans ce dernier cas, l’agent concerné reçoit alors une lettre lui  demandant de quitter la  Fonction publique.  Cet agent a alors 8 jours pour trouver un conseiller désigné par une  organisation syndicale représentative. Au terme de ce délai, il sera convoqué à un entretien préalable qui a pour but de fixer la  date envisagée de cessation définitive des fonctions  et le montant envisagé de l’indemnité de rupture conventionnelle. La signature de la convention peut intervenir  8 jours après l’entretien. Dès lors, le fonctionnaire ne  disposera plus que d’un délai de 15 jours francs pour exercer son droit de rétractation.

Pour Force Ouvrière, rien ne justifie qu’un employeur public demande à un fonctionnaire de quitter la Fonction publique, en dehors des cas prévus par le droit disciplinaire.  Force  Ouvrière a donc exigé que la rupture conventionnelle ne puisse  s’envisager qu’à l’initiative de l’agent. La réponse négative de la DGAFP démontre bien que ce dispositif répond à une commande politique du gouvernement pour déguiser des licenciements de fonctionnaires.

Lire le Compte-rendu FO Fonction publique

AESH : mobilisation le 20 novembre pour exiger l’amélioration des conditions

Les AESH vivent une dégradation de leurs conditions de travail : temps incomplets subis, non-renouvellements massifs, salaires non versés avec des acomptes souvent indécents, affectations aberrantes, attente insupportable des documents administratifs, services de gestion saturés.

La flexibilité imposée par la mise en place des PIAL et la poursuite des mutualisations pour gérer le manque de recrutements aggravent la situation, tant au niveau de l’accompagnement pour les élèves suivis que des conditions de travail pour les AESH.

Les organisations syndicales de l’enseignement FNEC FP FO, CGT, SUD, FSU, SGEN-CFDT, Se-Unsa, Snalc appellent a participer à une journée de mobilisation nationale  le 20 novembre 2019 pour porter les revendications des AESH :

>     Réemploi de toutes les AESH
>     Pour une meilleure gestion des AESH, des personnels administratifs en nombre et formés : pour des contrats et avenants à jour, des salaires versés, des affectations en fonction des situations des AESH ...
>     Le maintien des accompagnements individuels dans le respect des notifications MDPH
>     L’arrêt de la mutualisation forcée aggravée par les PIAL
>     Une formation professionnelle de qualité sur le temps de travail, initiale, continue, spécifique et qualifiante
>     La fin du recrutement par les EPLE
>     La création du nombre d'emplois nécessaire pour couvrir tous les besoins
>     Une revalorisation immédiate des salaires
>     La création d'un véritable statut de la Fonction Publique pour les AESH

Lire le communiqué de l'intersyndicale
Télécharger le document "réunion d'information spéciale AESH"

Obligatoire le conseil école-collège ? NON

La participation à la liaison école/collège ne peut se faire que sur la base du volontariat. Il ne peut y avoir d’obligation à se rendre à un conseil école-collège.

En cas de pression de la hiérarchie, contactez le SNUDI-FO.

Télécharger le document "obligatoire le conseil école-collège ?"

Les conditions de travail nous maltraitent et nous tuent

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Le rassemblement en hommage à Christine Renon devant la DSDEN 35 le jeudi 3 octobre a été un moment fort rassemblant de très nombreux personnels de l’Éducation Nationale.

La réponse du ministère, qui instrumentalise le suicide de Christine Renon, est scandaleuse et inadmissible. Ce n’est pas un statut de directeur·trice, ni un changement de forme juridique des écoles qui améliorera nos conditions de travail.

Nous ne pouvons accepter que les responsabilités de l’institution soient niées.
Ce sont bienles contre-réformes et les pratiques managériales mortifères  que subissent tous les personnels qui sont responsables de la situation.

Nous n’acceptons plus que l’institution joue avec la santé de ses personnels.
Nous attendons des réponses immédiateset concrètes de la hiérarchie sur les questions et les préoccupations des personnels du département.

Nous ne souhaitons pas en rester là.
Le mercredi 6 novembre, jour du CHSCT ministériel spécial suite au suicide de Christine Renon, de nombreux rassemblements auront lieu. Des collègues seront en grève.

Mercredi 6 novembre

Nous appelons les collègues à se réunir en Réunion d’Informations Syndicales de 9h à 12h  à la Maison des associations (Rennes) pour dire et écrire ce qui est une source de souffrance au quotidien.

Puis, nous porterons ces doléances lors d’un rassemblement
devant la DSDEN de Rennes à 12h30.

 

Lire l'appel intersyndical d'Ille‑et-Vilaine à la mobilisation du 6 novembre

Informations syndicales

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Conditions de travail indignes : STOP !

A  la suite du suicide de Christine Renon, 17 enseignants et directeurs/directrices du 1er degré se sont réunis à Saint-Gilles, le mercredi 9 octobre, à l’initiative du SNUDI-FO 35.

Ils y ont exprimé, au-delà de la très vive émotion engendrée par le geste de leur collègue, la colère face à des conditions de travail qui ne cessent de se dégrader au fil des contre-réformes et leur détermination à revendiquer :

      la prise en compte des revendications des directeurs d’école (décharges pour tous, amélioration des seuils, réel allègement des tâches, rétablissement des aides administratives…) et le rejet du projet de création d’un statut de directeur
  
  •  la baisse des effectifs par classe dans toutes les classes
   
  l’arrêt de la politique d’inclusion sans limite
   
  le rétablissement du calendrier national sur 36 semaines avec retour à la semaine de 4 jours
   
  la séparation du scolaire et du périscolaire
   
  la bienveillance et confiance  de la hiérarchie vis-à-vis des enseignants (respect de la liberté pédagogique, retrait des APC, arrêt des injonctions croissantes de la hiérarchie  déconnectées de la réalité du terrain, arrêt de la paperasse chronophage qui  éloigne du métier d’enseignant)
   
  des réponses et du soutien de l’administration face aux situations difficiles avec les élèves et les familles, protection inconditionnelle des enseignants et des  directeurs
   
  la mise en place réelle d’une médecine préventive et visite médicale annuelle
   
  le rejet du projet de  réforme des  des retraites.

Ils ont adopté une motion en ce sens.

Ils ont également décidé du lancement d’une campagne de courriers. L’idée est d’envoyer, à chaque fois que l’on est empêché d’exercer correctement son métier (du fait de violences de la part d’un élève, de difficultés avec des parents, de tâches administratives inutiles...), un courrier (de préférence collectif) à son IEN , au DASEN et/ou au ministre ainsi qu’aux médias (avec copie au SNUDI-FO 35). Pour que la hiérarchie ne puisse plus faire comme si rien de grave n’avait lieu, pour que la souffrance des personnels ne soit plus niée.

Le SNUDI-FO 35 appelle tous les collègues du département  :

      à se réunir pour discuter de leurs conditions de travail, lister leurs revendications et les faire remonter au syndicat qui les portera au DASEN et à l’échelon national ;
   
  à participer à la campagne de courriers pour que cesse le silence sur les conditions de travail indignes des PE.

Lire la motion des 17 enseignants réunis à Saint-Gilles
Télécharger le modèle de courrier « Lettre aux responsables » à envoyer à la hiérarchie, aux médias et au SNUDI FO 35 (après la lettre, qui  constitue la 1ère page, vous trouverez un mode d’emploi et une liste de médias)

Stage de formation "réforme des retraites" : NON au système unique par points

vendredi 29 novembre 2019, de 9h30 à 17h00
dans les locaux du syndicat,
35 rue d'Echange à Rennes (métro Sainte Anne)

Les stages de formation syndicale sont ouverts à tous, syndiqué-e-s ou non. Pour y participer, inscrivez-vous dès à présent auprès du syndicat qui vous adressera une convocation. La demande d'autorisation d'absence devra être envoyée à l'IEN au moins un mois avant la date du stage.

Réunion d'information syndicale « rythmes scolaires » : 4 jours pour tous

mercredi 13 novembre (9h30-12h30)
à l'Union départementale FO (35 rue d'Echange, Rennes)

Chaque collègue peut participer à 9 heures d'information syndicale par année scolaire. Ces heures peuvent être déduites des heures annualisées (m@gistère, animations pédagogiques y compris celles décrétées "obligatoires" par l'IEN, concertation…) ou des heures de classe (3 heures maximum).

Participer à une RIS est un droit, cela ne nécessite donc pas une demande d’autorisation d’absence mais une simple information à l’IEN qui peut se faire jusqu'à 48 heures avant la tenue de la RIS.

Télécharger le modèle de courrier à envoyer à l’IEN avant la RIS

Réunion d'information « spéciale AESH »

mardi 7 janvier à 17h00
à l'Union départementale FO (35 rue d'Echange, Rennes)

AESH, venez :
   - témoigner des difficultés rencontrées
   - vous informer sur vos droits
   - vous informer sur les PIAL et les nouvelles modalités de fonctionnement
   - obtenir des réponses à vous questions
   - vous organiser collectivement pour faire valoir vos revendications

Inscrivez-vous au stage avant le vendredi 6 décembre 2019 en envoyant un mail au snudifo35@wanadoo.fr. (Le syndicat vous enverra par mail une convocation et la marche à suivre pour votre demande d’autorisation d’absence).